Ce sont les changements les plus positifs que le cerveau vit dans la ménopause

Certaines conventions sociales pèsent comme une dalle. Pendant des siècles, nous avons appris à penser que lorsque les hommes vieillissent, ils le font comme du bon vin. Plus ils tournent des années, plus ils réévaluent. Est la même chose avec les femmes? «La réponse est non. Lorsque nous vieillissons, nous ne sommes pas vus de cette façon. La perception générale est que notre vin est passé de Maduro, déplore la Lisa Mosconi neuroscientifique, l’un des 17 scientifiques vivants les plus influents, selon le Times. Après ce sujet, ils se cachent Beaucoup (fausses) croyances. L’un d’eux est d’associer l’arrivée de la ménopause dans l’ordre: fertilité, beauté, sexualité … le déclin absolu!

Comme expliqué dans son récent livre Ménopause et cerveau (Éd. Kairós), la réalité et la science démontrent que ce n’est pas le cas. Regardez autour de vous pour trouver des femmes intéressantes, attrayantes et prospères qui sont déjà passées La barrière absurde du 45. Heureusement, ils revendiquent également leur importance sous les projecteurs. Cate Blanchett, Halle Berry, Penelope Cruz, Candela Peña, Naomi Watts ou Demi Moore sont peut-être les exemples les plus éblouissants et les manides. Parce que, bien sûr, il y a entrepreneurs, écrivains, scientifiques, Politiques … Mosconi elle-même approche 47 ans.

Le côté positif de la ménopause

Expert dans le cerveau féminin, Mosconi a étudié ce qui se passe à la fois au corps des femmes de l’âge de 40 ans. En particulier, par rapport à votre santé hormonale. Après tout ce temps de travail en laboratoire, en consultation et en tant que disséminateur, quelque chose a été clair pour lui: malgré la suffocation, les problèmes de sommeil ou des changements d’humour, il y a une partie positive. C’est ce qu’elle appelle le cerveau en ménopause. De la même manière qui se produit à la puberté ou pendant la grossesse, Le cerveau subit des changements En raison de la diminution des œstrogènes. La chose habituelle est de penser à son côté négatif.

Parce que, soyons honnêtes, il l’a. La suffocation – qui a vraiment une origine cérébrale – est l’un des symptômes les plus connus. Mais il y en a beaucoup plus. N’oublions pas que l’estradiol (l’œstrogène les plus puissants et les plus abondants à l’âge reproducteur) est impliqué dans une liste sans fin de processus neurologiques: Protège le cerveau, lui donne de l’énergiefavorise sa réparation de cellules … avec la ménopause, l’estradiol dit au revoir. Qui se traduit par du brouillard mental, de l’anxiété ou des hauts et des bas. Cependant, contrairement à ce qui peut arriver aux os, à la peau ou aux muscles, c’est quelque chose de transitoire. « En fait, c’est une adaptation neurologique, une capacité très sous-évaluée jusqu’à présent et encore de célébrer », explique le neuroscientifique.

Le cerveau en ménopause

L’auteur explique que les scanners effectués à cette époque ont montré que, bien que l’énergie cérébrale montre une baisse pendant la périménopause et les premiers mois de postménopause, leurs niveaux sont stabilisés. Ils s’améliorent même. «C’est un Récupération tardive, mais merveilleuse«. En d’autres termes, il ajoute: « Les ovaires peuvent fermer, mais le cerveau continue de fonctionner. »

Il existe de nombreuses enquêtes qui plongent dans cette ligne. Encore plus si nous prenons en compte que l’espérance de vie, en particulier les femmes, s’est multipliée considérablement au cours du siècle dernier. Ce n’est qu’en Espagne, au début du 20e siècle, il dépassait à peine 40 (c’est-à-dire la plupart ou connaissait la ménopause); Bien que ce soit actuellement presque 86 ans. C’est-à-dire que les femmes vont passer Presque la moitié de la vie en climacterique. Et il semble que, enfin, la science y assiste.

Heureux, empathique et sûr

Mais qu’arrive-t-il au cerveau dans la ménopause. Le Dr Mosconi souligne, tout d’abord, un plus grand sentiment de bonheur. «En général, ils se sentent généralement Heureux et satisfait que dans les moments précédents de sa vie », dit-il, se référant à plusieurs études. Selon leur expérience, la plupart des femmes atteignent ce sentiment quelques années après la fin de la règle. D’autres aspects positifs sont beaucoup plus empathiques. Au fil des ans, ils sont montrés plus de compréhension et résilient aux changements. On pourrait dire qu’ils coulent mieux et plus calmement.

De plus, un point très remarquable est qu’ils commencent à se prioriser. Certains experts attribuent au déséquilibre hormonal: lorsque les œstrogènes abaissent, la présence relative d’androgènes tels que la testostérone augmente. Ce qui entraînerait une façon d’être traditionnellement masculin. Lisa Mosconi, cependant, trouve l’explication dans L’amygdale émotionnel du cerveau. Il se transforme de telle manière que la femme vivre une plus grande sécurité, la clarté des idées Et, en fin de compte, un plus grand domaine émotionnel. « Comme beaucoup de femmes que je connais, ils disent: ce que vous auriez beaucoup pris à la poitrine maintenant, vous vous souciez d’un M … », illustre dans le livre.

Menocomienzo: une nouvelle opportunité

Tous ces phénomènes neurologiques, qui sont de plus en plus étudiés, ne peuvent pas être séparés des autres aspects – social, professionnels, famille … – qui se produit généralement lorsque la femme s’approche du 50. Dans certaines enquêtes, il est appelé Lessart (Menocomienzo). Une sorte de Deuxième vie adulte. Une énergie physique et psychologique que de nombreuses femmes éprouvent après la ménopause. « Il peut être traduit par une nouvelle profession, de nouveaux intérêts, des voyages, de nouvelles relations ou une nouvelle approche générale de la façon de canaliser le temps et l’énergie », explique Mosconi.

Bref, la ménopause, à court terme, n’a pas besoin d’être le meilleur moment de la vie des femmes. Mais Lisa Mosconi ouvre une porte sur un chemin qui, jusqu’à présent, n’était pas très occupé. «La plupart des femmes s’adapter au changementils et leur cerveau. Et c’est à ce moment que le bonheur et la satisfaction personnelle commencent non seulement à récupérer, mais peuvent continuer à grandir aussi loin qu’ils le souhaitent.