Le meilleur traitement contre le relâchement pendant la ménopause pour Marta Masi
En pleine discussion sur la ménopause, Marta Masi est entrée dans le vif du sujet : la flaccidité existe, elle a une solution et elle ne peut pas être corrigée avec une crème.
La plupart des discussions sur la ménopause tournent autour des classiques : chaleurs soudaines au mauvais moment, nuits tardives, sautes d’humeur. Mais ce matin-là, dans la pharmacie de Marta Masi, la conversation a pris une autre direction. Pas de ventilateurs ni de mélatonine : ici, ils en ont parlé visage, peau et fermeté. « La baisse des œstrogènes entraîne la flaccidité, et ce qui aide le plus, ce sont les petites machines », a déclaré Masi sans sourciller. Et il ajouta : « Ce traitement est une bombe. » Ce n’était pas une promotion. C’était un aveu. Dans la salle, les participantes – des femmes d’âges et de types de peau différents – ont hoché la tête avec un mélange de soulagement et de curiosité. Finalement, quelqu’un a nommé ce qui n’est presque jamais mentionné : que le visage vieillit également différemment lorsque les hormones disparaissent. Mais Il existe un traitement contre le relâchement à la ménopause qui fonctionne.
Quand le collagène entre lui aussi en crise
Pendant la ménopause, les œstrogènes diminuent et avec eux la production naturelle de collagène et d’élastine. Ces fibres sont chargées de garder la peau ferme, tendue et structurée. Lorsqu’elles se raréfient, la peau perd en densité, la ligne de la mâchoire s’estompe et l’expression paraît plus fatiguée même dans les bons jours. « Soudain, tu te sens plus doux », expliqua Masi. Ce ne sont pas les rides, c’est que tout tombe un peu. Et aucune crème n’en vaut la peine. »
Les chiffres le confirment : entre 45 et 50 ans, la peau peut perdre jusqu’à 30 % de son collagène. Ce n’est pas un drame, c’est de la biologie. Mais c’est un signal d’alarme. La bonne nouvelle est que la science esthétique a trouvé des moyens de réactiver ce collagène sans recourir à des scalpels ou à des produits de comblement.
Des ultrasons avec un bon effet rebond
Le traitement dont Masi parlait – le même qu’elle a essayé – utilise échographie microfocalisée pour stimuler le néocollagenèse, c’est-à-dire la création de nouveau collagène de l’intérieur. Son nom technique : Ultherapy PRIME. Sa philosophie : recycler la peau pour qu’elle fonctionne à nouveau.
Son fonctionnement est le suivant : la machine émet des ondes ultrasonores à différentes profondeurs (1,5, 3 et 4,5 mm), chauffant les tissus à la température exacte (entre 60 et 70 °C) qui active la régénération. Il n’y a pas d’aiguilles ni de chirurgies ; juste une séance d’environ 60 minutes au cours de laquelle le spécialiste voit, grâce aux ultrasons, exactement où appliquer l’énergie. Un lifting interne avec une précision chirurgicale, mais sans scalpel.
Les résultats de ce traitement contre la flaccidité à la ménopause sont progressifs — ils commencent à se manifester au bout de deux ou trois mois — et durent plus d’un an. Sur la base des données cliniques, l’Ultherapy est le traitement de référence dans sa catégorie, avec plus de 3 millions d’interventions réalisées et un 95% de satisfaction chez les patients.
Sans hormones, mais avec un plan
Pour Masi, Le débat ne porte pas sur la question de faire ou de ne pas faire les choses, mais sur la capacité de décider sans culpabilité. «La baisse des hormones vous change intérieurement et extérieurement. Mais avoir des outils vous donne un sentiment de contrôle. « Il ne s’agit pas de ressembler à quelqu’un d’autre, mais de ne pas avoir l’impression que tout s’effondre avec vous. » Votre vision correspond à une nouvelle génération de femmes qui considèrent les soins personnels comme quelque chose de stratégique et non d’esthétique. Prendre soin de soi, ce n’est plus se cacher, mais se soutenir. Et parler ouvertement de la ménopause fait partie du même geste.
« Quand on sait ce qui se passe, on cesse d’avoir peur », a-t-il déclaré. C’est pourquoi elle a créé son propre Club Ménopause, un espace pour partager des connaissances, démolir les clichés et rappeler qu’il n’y a pas qu’une seule façon de franchir cette étape. Aucune peau n’est identique.
Ce qui est en jeu
La réunion s’est terminée par une question posée par quelqu’un en arrière-plan : « Mais est-ce vraiment perceptible ? » Masi sourit : « Ça se voit. Mais la meilleure chose est ce que vous ressentez lorsque vous voyez que vous pouvez faire quelque chose.
Cette réponse résume une idée plus grande que n’importe quel traitement : la ménopause n’est pas le début de la fin, mais le début de la connaissance. Et que, lorsque l’information, la science et un peu d’humour se conjuguent, la fermeté peut naître de l’intérieur… et se refléter à l’extérieur.