Le mystère des 300 cheveux par jour

Ce n’est pas un mythe. Pas une croyance populaire. La science garantit que les cheveux tombent beaucoup plus à un moment de l’année que dans les autres. Par exemple, lorsque l’automne s’approche. C’est ce que l’on appelle la chute de cheveux de saison. «C’est totalement vrai. Cette saison, il y a un Real rebond dans la perte de cheveux Cela, en réalité, il est maximum fin août », corrobore le Dr Claudia Bernández, un dermatologue expert en trichologie.

Les chiffres aident beaucoup à avoir l’idée. S’il est généralement dit qu’il est normal de perdre environ 100 cheveux par jour, à ce moment, le chiffre peut atteindre 300 ou même 4oo Hoids détachés quotidiennement. Il est normal que les alarmes tirent.

Quand le calendrier vous prépare

Cependant, vous devez comprendre que ce n’est pas, encore moins, une perte définitive. «L’automne saisonnière est due à Rythme biologique du follicule pileux. Ils influencent également d’autres facteurs externes, tels que la lumière du soleil, la pollution ou le cycle hormonal », explique le Dr Bernández, qui est le fondateur de la clinique AB Derma et conseiller de Cantabria Labs.

En d’autres termes, c’est plutôt une rénovation des cheveux qui, en principe, ne devrait pas alarmer. Quelque chose de très similaire à la muet saisonnière de certains mammifères.

Poils partout … et zéro alarme

L’une des caractéristiques les plus typiques de la chute capillaire saisonnière est son intensité. Il se concentre dans quelques semaines et frappe parfois comme le lavage ou le brossage. Nous rencontrons des poils sur les vêtements, à la maison, sous la douche, la brosse et, vous pouvez, même dans l’oreiller. Quelque chose de plus scandaleux si qui en souffre a des cheveux longs. Cependant, Ne vous inquiétez pas en excès. «Habituellement, bien qu’il soit visible, cela n’implique généralement pas Perte de densité Aucun dommage permanent au follicule. Il fait partie du cycle des cheveux naturels et ne nécessite généralement pas de traitement médical », rassure le dermatologue.

Bien que l’expert conseille de stimuler la croissance. « De cette manière, nous veillerons à ce qu’une diminution progressive de la densité ne soit pas générée », ajoute-t-il. C’est à ce stade que les aides supplémentaires entrent en jeu, comme les compléments alimentaires et certains Formules d’utilisation topique (Champus, ampoules, sérums …). Cependant, et peu importe comment la vente gratuite dans les pharmacies et les parapharmacies, elles ne fonctionneront pas toujours. Parce que? La réponse est simple: parce que nous ne sommes pas toujours confrontés à une chute saisonnière.

Comment savoir si ce n’est que l’automne saisonnière

Le dermatologue définit ce type de perte de cheveux avec trois adjectifs: « C’est doux, bref et auto-éclairé. » Son intensité et le fait d’être frappants lors du pelage ou du lavage des cheveux le font être confondu avec l’effluvium télogène, qui est une chute due à d’autres causes et nécessite une attention immédiate. Une autre chose est que, dans certains cas, les deux circonstances sont très proches. La différence est que l’effluvium est une pathologie qui peut durer plusieurs mois et peut être due à des causes très différentes.

« Le stress, un déficit nutritionnel, le post-partum, une maladie, la suspension d’un médicament … Les déclencheurs sont très variés et souvent la chute se produit jusqu’à quatre mois après le moment critique », explique le médecin. Cette pathologie se traduit par un perte de densité capillaire -Non Calvas -, en particulier dans des zones telles que les côtés du cuir chevelu.

Quand ce sont des hormones, pas l’automne

Il est également important de distinguer la chute saisonnière de l’alopécie androgène. Ceci est présenté à peu près 50% des femmes en périménopause et la ménopause. « Il se caractérise par un raffinement progressif, c’est-à-dire une miniaturisation des cheveux et la perte de densité dans des zones très spécifiques. »

Ce qui se traduit par la ligne centrale la plus large, les entrées, les zones très claires … Dans ces cas, l’origine est une combinaison de facteurs hormonaux et génétiques.

En ce qui concerne le traitement, ce type d’alopécie peut nécessiter des traitements de prescription médicale (minoxidil dans les pilules et autres médicaments antiandrogènes). Il est également traité avec des techniques avancées, telles que Mésothérapie capillaire ou des injections de plasma riches en plaquettes et suppléments tels que les adjuvants.